Francky t'es pas bon

25 février 2011

Oh là là, j'avais vraiment envi de m'en prendre à quelqu'un aujourd'hui.
Un innocent aurait pu faire l'affaire...

Heureusement, je viens de trouver mon connard

The one, mais pas only (c'est bien le problème)

Franck Louvrier

Oh toi grand communiquant Sarkozien !!!
Pour que ta plume teintée par tant de fraternels pensées, éclate un peu plus au grand jour et pour qu'elle ne soit pas uniquement réservée à une poignée d'afficionados UMP du plus bas de gamme, je vais te laisser un peu de place sur mon modeste blog, j'ai il faut dire, laissé la parole à un flic il y a peu, alors pourquoi ne pas y aller un peu plus à fond, avec quelqu'un dans ton genre ??

Voici donc un petit copié/collé du charmant article dont tu gratifiais le world wild web pas plus tard qu'hier

Quel dévouement à la cause Sarkozienne, j'en suis baba

Les régions socialistes n’en finissent plus de sortir de leurs prérogatives républicaines.
Hier, le conseil régional de Midi-Pyrénées organisait une cérémonie de parrainage de lycéens sans papiers, pour « dénoncer les expulsions d’élèves sans papiers ».
Est-ce bien le rôle de conseillers régionaux de remettre en cause impunément la politique migratoire ? A l’évidence non. Pire, pour justifier ce soutien aux sans papiers comme relevant de ses compétences, Monsieur François SIMON, vice-président écologiste du conseil régional nous explique que chaque élu « se doit de faire valoir la justice ». Si chaque élu s’applique sa propre justice, on sort de la République. Il n’y a qu’une loi, celle votée précisément par les élus du peuple. Il n’y a qu’une justice, celle rendue au nom du peuple français et en vertu de nos lois.
Cette démarche est d’autant plus irresponsable et hypocrite dans le contexte international actuel de forte pression migratoire alors que chacun sait parfaitement que les capacités d’accueil de notre pays sont limitées et que la lutte contre l’immigration illégale est un enjeu décisif pour la cohésion de notre société.
Alors, quand les conseillers régionaux socialistes cesseront-ils de militer et se comporteront-ils en élus dignes et responsables ?
Alors qu’on parle de République irréprochable et de l’exemplarité des élus, comment Monsieur Martin MALVY, Président de la région, peut instiguer une telle initiative, alors même qu’il viole impunément la loi de la République ?

Oh mon con....

Ou la vois tu ta "République irréprochable" gros crapaud à perruque, embourbé dans tant de certitudes malsaines ? et de mots empoisonnés ?

Moi je ne vois qu'une poignée de notables compromis jusqu'à la racine des cheveux.

Tu parles de "République" ? Tu parles "élu du peuple", tu veux nous faire croire que tu partages, que tu fais parti, que tu travailles pour ces grands idéaux ?

Tu tentes de nous faire croire élu du peuple (mais de quel peuple exactement ?) que le débat n'a pas sa place face à cette loi.
Comme si en France aujourd'hui, tout le monde serait d'accord avec cette politique migratoire assassine et fondamentalement injuste ?
Nous ne sommes peut être pas la majorité (aujourd'hui, mais rien n'est définitif) mais ces gens là sont plus déterminés que tu n'es courageux.

Je te rappelles camarade qu'il fut un temps ou les résistants étaient nommés "Terroristes".
A cette époque je sais quel aurait été ton camp.

Derrière le petit ronron de l'attaque systématique du parti adverse, "attaque systématique" qui soit dit en passant, ne doit pas interesser grand monde vue son niveau proche du bac à sable (sorry les gosses de vous manquer de respect), paré des oripeaux de la Justice se cache une idéologie, toute étatique j'en conviens, mais surtout nauséabonde.

Désobéissons face à ses lois inhumaines qui traitent comme des criminels des gens qui cherchent non pas à profiter d'un système, juste à vivre en famille paisblement et surtout dignement.

Et pour finir car la rage m'étrangle quelque peu et j'ai du mal à écrire droit,

Que penses tu de ton collègue, Bouygues, comment aurait il fait pour batir son empire si il n'avait pas pu compter sur cette main d'oeuvre, silencieuse et bon marché ?

Par la présente, je te pris de croire à mon plus profond dégout.

Je n'oublierai pas ton nom